• Sur les hauteurs d'Ambialet.

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    En 1057, Frotaire, évêque de Nîmes, donne l'église Notre Dame à l'abbaye bénédictine St Victor de Marseille.

    Appelée tout d'abord Notre Dame de la Voûte, le nom " Oder " est en occitan celui de l'alaterne, sorte d'arbusier, dont un rameau, rapporté de Terre Sainte par un croisé, fut planté au pied du prieuré.

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

    Phyllyrea Alaterna Média appelé Oder.

     

    En 1866, les ruines du prieuré furent rachetées par les Pères Tertiaires Franciscains qui ont rebâti le monastère et restauré l'église.

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

    Porche dont la profondeur correspond à l'épaisseur des piliers qui soutiennent le clocher.

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

    Dépouillement typique de l'architecture du XIème siècle.

    Piliers massifs soutenant murs et voûte.

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

     

    Le Prieuré et l'église Notre Dame de l'Oder

    Statue en bois polychrome de Notre Dame de L'Oder ( XVIIème siècle ).


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  • Dans le Tarn, à 22 km d'Albi.


    Ambialet

     

    Paysages grandioses.

     

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    J'adore, et vous ?


     

     


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  • La chapelle érigée par Hippolyte Amouroux à la fin du XIXème siècle.

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )

     

    La tour de Peyrebrune ( 2 )


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  • Du XIème au XVème siècle, le château des Seigneurs de Panat surplombait le lac de Villefranche de Panat dans la commune d'Alrance. Les guerres de religion sont à l'origine de sa destruction. Le cardinal de Richelieu le fit démanteler en 1630. Seule la tour fut épargnée.


    La tour de Peyrebrune

    A droite, dernier vestige du mur d'enceinte du château.


    Cette tour compte 5 étages voûtés pour 20 m de haut. Remaniée à maintes reprises, sa structure actuelle remonte à la fin du Moyen-Âge. Son intérêt défensif se lit dans son architecture : présence de meurtrières, porte d'accès décalée au premier étage ...


    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

     

    A la fin du XIXème siècle, l'abbé Hippolyte Amouroux, curé de la paroisse, l'achète, la restaure et la transforme en lieu de culte. Il fait placer tout en haut une statue de la Vierge et érige une chapelle.


    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

    Entrée de la chapelle et porte d'accès de la tour au 1er étage.

     

    Vue panoramique du 5ème étage.

     

    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

    La tour de Peyrebrune

     

    Une dernière tranche de travaux a été engagée début 2000 par la commune avec le soutien des bâtiments de France.


    Demain, je vous présenterai la chapelle.

     


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  • La légende de Saint-Cyrice

     

    Une nuit qu'il s'était attardé plus que de coutume, un nommé Palet du hameau des Fabreguettes, conduisait sa mule chargée d'un lourd sac de châtaignes sur le sentier qui passe par la chapelle Saint-Cyrice.

    Alors qu'il se trouve à sa hauteur, voilà que le sac glisse sous le ventre de la bête. Grand embarras du conducteur, incapable de remettre la charge à sa place ... et de la bête qui ne peut la traîner ainsi posée. Pendant qu'il réfléchit, il entend un chant sortir de l'église. C'était un " Gloria in excelsis ". Qui est là à cette heure se demande-t-il. Malgré son étonnement et son émotion, Palet se décide à entrer dans l'église.

    Le choeur est éclairé par un éblouissant luminaire. L'assistance dans la nef est si serrée que tout le monde se tient debout.


    La légende de Saint-Cyrice


    Au bout d'un moment, Palet avise un gros gaillard aux larges épaules qui se trouve devant lui, lui tape sur le dos et le prie de venir l'aider à recharger sa mule. Mais sous sa main, ce dos et ces épaules lui semblent vides de chair et d'os, comme s'il n'avait touché que de l'air. L'homme le suit pourtant sans rien dire. Pallet s'arc-boute et crie à son compagnon " Anem ! butaz " ( Allons ! Poussez ! ) Il entend alors une grosse voix caverneuse lui répondre " E buta, tu, que as de carn d d'osses ! " ( Et  pousse, toi qui es de chair et d'os ! ) En même temps, un soufflet retentissant lui tombe sur la figure tandis que l'homme disparaît.

    Sa force centuplée par la peur, Palet remet vite le sac en place et tout tremblant, près de s'évanouir, il rentre chez lui et raconte l'histoire.

    Depuis ce jour, il ne passe jamais devant la chaépelle sans éprouver un petit frisson et rentre chez lui bien avant la nuit.


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