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Le chemin de croix réalisé de 1933 à 1935 par le céramiste Léon Elchinger ( 1871-1942 ) et restauré en 2011 par François Péquignot.
La grotte de Lourdes.
Le cimetière.
La source miraculeuse.
Son eau aurait la vertu de guérir les maladies des yeux. Selon la légende, c'est Sainte Odile qui l'a fait jaillir en frappant le rocher de son bâton.
Le récit de mon séjour en Alsace est terminé.
Que de beaux souvenirs d'une magnifique région. Merci encore à Gwenaëlle pour tous ces moments.
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La cour du cloître.
Vieux puits taillé dans le roc, à la margelle usée faite d'une seule pierre.
La galerie.
La chapelle Sainte-Odile.
Sarcophage dans lequel reposait Adalric, père de Sainte Odile. A droite, Sainte Odile priant pour le repos de son âme.
Tombeau de Sainte Odile.
La Porterie.
Stèle Saint Léger datant du XIIème siècle résumant la fondation du monastère.
Le duc d'Alsace Aldaric remettant le livre de fondation à sa fille Odile.
Les abbesses Herrade et Relindis sous la protection de la Vierge et de l'enfant.
Statue de Sainte Odile, réalisée par le sculpteur François Alexis Fransin en 1696, en grès doré argenté et peint.
Statue d'un ange par le même sculpteur.
Peinture murale représentant la congrégation religieuse du Hohenbourg du temps de Herrade.
La chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption.
Demain, nous irons à l'extérieur de l'abbaye.
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Le mont Sainte-Odile est un mont vosgien situé à Ottrot dans le département du Bas-Rhin culminant à 764 mètres d'altitude. Il est surmonté par l'abbaye de Hohenbourg, couvent fondé en 680 par sainte Odile, fille du duc d'Etichon.
La légende raconte que sainte Odile vint au monde aveugle et fut cachée pour être protégée de son père ayant donné l'ordre de la tuer. Elle recouvra la vue lors de son baptême. Son père lui offrit plus tard le château de Hohenbourg ou Altitona pour y fonder une abbaye et se racheter de ses fautes.
Statue d'environ 4 mètres de haut, Sainte Odile bénissant la plaine d'Alsace.
Stèle avec un médaillon en bronze, oeuvre de Gérard Ambroselli, rappelant la venue de Jean-Paul II le 11 octobre 1988.
Vasque en grès provenant de l'abbaye de Niedermunster.
Le cadran solaire conçu par les moines cisterciens de l'abbaye de Neubourg au XVIIIème siècle.
Il présente la particularité de donner non seulement l'heure solaire vraie du lieu mais également les heures babyloniennes, italiennes, antiques ainsi que les heures vraies de différents endroits du globe. Ces particularités en font une pièce unique au monde.
Sur le socle cylindre créé lors de son installation au couvent du mont Sainte-Odile en 1935, est gravée une sentence en latin de part et d'autre d'un écusson portant les armoiries de Monseigneur Ruch " Tu vois comment l'ombre fuyante indique nos heures. Une ombre régit les ombres. Nous ne sommes que poussière et ombre ".
Les deux chapelles.
La chapelle des Larmes.
La chapelle des Anges.
Le bâtiment Saint-Léger.
Les armoiries du couvent de Sainte-Odile.
Porte de gauche datée de 1650 permettant de passer du cloître au jardin potager.
Porte de droite datée de 1934 mais respectant le classicisme des bâtiments du XVIIème siècle.
Suite de la visite demain.
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