• Au village de Poisieu ( Ain ) , entre Champagne et Brénaz.

    Remarquable ensemble architectural constitué par 3 monuments :

     

     

     

    100 1763

     

    100 1770

     

    100 1773 

    Une fontaine médiévale (avec une remarquable voûte en arc brisé) dont la source ne tarit jamais.

     

    100 1767

     

    Un calvaire du Xllème siècle.

     

    100 1764

     

    100 1766

     

    Un four banal.

     

    100 1768

     

    A côté du four, on peut observer un " travail ", endroit où le maréchal-ferrant posait des fers sur les sabots des vaches ( bâti dans lequel l'animal est entravé à l'aide de sangles ).

     

    Cet article est programmé car je pars quelques jours. Merci pour vos petits mots. A mon retour, je serai très heureuse de lire tous vos articles du " week-end du petit patrimoine ".


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  • L'Albarine, cours d'eau principal du Val d'Hauteville, prend sa source à Brénod, descend du Val d'Hauteville au Thiou par une cascade appelée " Charabotte ". Ce site est classé depuis 1909 comme " monument naturel de caractère artistique ".100 1811

     

    La cascade de la Charabotte prise en photo lundi. Désolée, pas d'eau !!

     

    L'albarine traverse ensuite plusieurs villages du Bugey pour se jeter ensuite dans l'Ain à Châtillon-la-Palud.

     

    100 1816

     

    100 1819

     

    L'Albarine à Chaley.


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  • Je vous invite à rentrer dans l'église.

     

     

     

    100 1705

     

    Remarquez le sol recouvert d'un plancher, hiver oblige en cette région.

     

    100 1693

     

     

    Chapelle voûtée sur croisée d’ogives.

     Elle contient un autel en bois ainsi que trois statues polychromées: l’une de Marie, l’autre de Joseph, la troisième de Ste Anne, mère de Marie.

     

     

    100 1688

     

     

     

    Chaire en bois toute simple.

     

    100 1704

     

     

    Peinture en mauvais état représentant deux anges en adoration.

    

     

                                                Vitraux posés en 1938.

     

     

    100 1699

     

     

    Trois moines. 

    L’un, à gauche, travaille bêche à la main. Un autre, prenant appui sur sa bêche, écoute le troisième moine, St Benoît, fondateur des moines bénédictins au Vème siècle, un calice à la main, un livre ouvert dans l’autre dans lequel nous pouvons lire PAX, la paix. A leurs pieds, l’Abbaye de Cluny.

     

     

    100 1700

     

     

    Ste Marie de Lhuis.

     

    A ses pieds, le village en 1938.

     

    100 1701

     

    St Michel et Jeanne d'Arc.

    St Michel invite Jeanne d’Arc qui l’écoute tout en gardant ses moutons, à se rendre auprès du Roi pour libérer le Royaume de France occupé par les Anglais. Peu visible au bas du vitrail, le village de Domrémy.

     

     

    100 1698

     

     

     

     

    Autel en bois surmonté d’un retable habillé d’une peinture du Christ au soir du Jeudi Saint, à la table du partage.

     

    100 1703

     

     

    Christ en bois polychrome sur une croix de bois.

     

    100 1684

     

     

    La Madone à l’enfant.

     

     

    Lhuis

     

    Les statues.

     

     

    100 1687

     

     

    Abside de la fin du XIIème siècle éclairée par trois fenêtres.

    Semi circulaire, elle est séparée du choeur par un arc romain supporté par deux colonnettes coiffées de chapiteaux.

    

    J'espère que la visite vous a plu.

     

     


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  •  

    Elle est située sur la place du village.

     

     

    100 1709

     

    La façade est un grand mur de pierres réemployées percé par un portail classique du XVIIIème siècle surmonté d’une niche habitée par une Madone aux bras grands ouverts. La porte en bois date de 1940. Plus haut, une unique ouverture circulaire rappelle que cette maison rassemble autour du Dieu "unique" ( nombre1, symbole de Dieu ). Au pignon, une simple croix.

     

    100 1711

     

    100 1712

     

    Sa toiture est en tuile d’écailles à part celle de l’abside couverte de lauzes.

     

    100 1708

     

    Vierge de 1866.

     

    100 1721

     

    Autel antique, destiné au culte du Dieu Soleil, décoré d’une roue ( symbole de lumière ) ornée de 4 branches.

     

    Les chapiteaux.

     

     

     

    100 1720

     

    Personnage tirant des eaux un autre personnage d’un côté et un gros poisson de l’autre.

     

    100 1719 

     

    Visage entouré de serpents.

     

    100 1714

     

     Ailes déployées.

     

    100 1713

     

     L’homme mangeur d’enfants.

    Visages hideux aux yeux exorbités, aux grandes dents, ouvrant leur gueule prêts à dévorer des enfants dont nous voyons la tête.

     

    100 1715

     

     Trois personnages têtes en bas, bras et mains enchevêtrés.

     

    100 1716

     

     L’homme sait repousser mais aussi accueillir.

    Personnage central debout, entouré d’un autre auquel il semble relié, et d’un troisième qu’il paraît repousser.

     

    A demain pour la visite de l'intérieur de l'église. 


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  • Construite en 1149 à Thézillieu, l'Abbaye Saint-Sulpice fut détruite après la  Révolution et ses pierres servirent de carrière de pierre pour les villageois.

     Intacte en 1809, l'Abbaye n'est plus qu'un monceau de ruines d'après le plan cadastral de 1839. Seuls subsistent la chapelle Saint Vital, les moulins, le bâtiment du four et de la boulangerie et les quatres murs de clôture.

     

     

     

    Abbaye Saint Sulpice 001

     

    Quelques ruines sont visibles entre le Genevray et les Catagnolles.

     

    100 1796

     

    Le ruisseau de Combajoux.

     

    100 1792

     

    Ruines.

     

    100 1797

     

    La chapelle Saint Vital en pleine restauration.

     

     

    100 1798

     

    Ses deux bien belles ouvertures.

     

    En 1968, des fouilles ont été entreprises pour essayer de situer les éléments de cette abbaye cistercienne.

    Vestiges de l' ancienne abbaye (cad. H 648, 1243, 657, 656, 654, 1119, 651, 1242, 644 à 647, 650, 652, 653, 655) : inscription par arrêté du 17 novembre 1994

    Les vestiges de l'abbaye se composent de deux églises : une chapelle primitive de structure romane (simple vaisseau terminé par une abside semi-circulaire) modifiée au 16e siècle pour permettre la sépulture ; une seconde église abbatiale établie à la fin du 12e siècle (nef de cinq travées flanquée de deux collatéraux, transept saillant, chevet plat flanqué de deux chapelles carrées). Les bâtiments claustraux étaient situés au nord de l'église. Au 18e siècle, le cloître n'existe plus. Au nord-est de l'église, quelques éléments font songer à un petit cloître bordé au sud par un bâtiment et à l'est par une construction à étage. Il s'agit du logis abbatial post-médiéval. A proximité de la digue du premier étang, deux granges, la tuilerie et la verrerie, témoignent de l'activité économique du monastère.

     

     Demain, je vous raconterai une légende se déroulant dans cette abbaye.


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