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Visite intérieure à l'abri de la pluie.
L'entrée.
Portrait du maréchal Erasme de Contades ( 1758 ).
Le petit salon.
Le grand salon.
Parquet Versailles, mobilier et boiseries XVIIIème siècle.
Seul portrait au château du petit-fils naturel de Louis Georges Erasme de Contades, Marie-Jean Hérault de Séchelles ( 1759-1794 ).
C'est à lui, futur Conventionnel, que le maréchal doit d'avoir été protégé pendant la Terreur.
La salle à manger.
Poële en faïence.
La cuisine.
260 pièces de cuivre et d'étain.
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Voilà, le récit de mes vacances de juin arrive à sa fin avec ce château situé à Mazé en Maine-et-Loire.
Le château de Montgeoffroy appartient au XIIIème siècle à Geoffroy de Chateaubriand puis à la famille de La Grandière.
En 1676, Erasme de Contades acquiert la terre de Montgeoffroy.
En 1772, son petit-fils, Louis Georges Erasme de Contades né en 1704, maréchal de France depuis 1758 et gouverneur de l'Alsace en 1762, fait rebâtir le château en vue d'y prendre sa retraite. L'ancien château est rasé à l'exception des deux tours, des douves et de la chapelle de 1543. Son plan en " U " est conservé. Les travaux qui durent plus de trois ans sont principalement dirigés par son fils le marquis de Contades, sa belle-fille Julie Constantin de Marans, sa maîtresse Hélène Hérault de Séchelles et la belle-fille de cette dernière Marie-Marguerite Magon de La Lande.
Le domaine traverse la Révolution française sans encombre.
Le château, ses communs, la chapelle, les deux pavillons d'entrée, l'esplanade, les douves et la cour d'honneur au Sud du château sont classés Monuments Historiques par arrêté du 8 octobre 1984.
La visite commence par les écuries avec les stalles et quelques voitures hippomobiles.
La façade du château.
La chapelle.
Le parc derrière le château.
Il ne fait vraiment pas beau ! Nous serons mieux à l'intérieur ... demain.
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Après la visite du château de Montpoupon, petit tour à Montrichard.
Le château.
Le château de Montrichard, château fort aujourd'hui en ruines est situé dans la commune éponyme.
Construit au début du XIème siècle par le comte d'Anjou Foulques Nerra, il lui sert de point d'appui dans sa lutte contre le comte de Blois, Eudes II.
Hugues Ier d'Amboise s'empare de la forteresse en 1109 et y fait plusieurs travaux d'agrandissement.
En 1188, le roi de France Philippe Auguste, après en avoir fait le siège, le détruit partiellement.
Durant la guerre de Cent Ans, le 6 septembre 1356, le château est attaqué par les Anglais lors de la chevauchée du Prince noir.
En 1461, Louis XI échange avec Guillaume d'Harcourt ses seigneuries de Gourmay et de la Ferté-en-Bray contre la seigneurie et le château de Montrichard.
La période Renaissance permet d'y voir de splendides bâtiments seigneuriaux accueillant régulièrement les rois de Charles VII à Louis XIII.
En 1753, en raison de peu d'entretien, les bâtiments s'effondrent et éventrent l'église Sainte-Croix placée en contrebas.
Le château fait l'objet d'un classement au titre des Monuments Historiques depuis le 14 juillet 1877.
Le site est bombardé par les troupes françaises en 1940 et la petite tour ronde est détruite.
Les maisons à pans de bois.
Protégées par le clocher, ces maisons, de la seconde moitié du XVème siècle, résistent lors de l'effondrement des logis royaux sur l'église et les maisons voisines.
Elles sont classées Monument Historique par arrêté du 25 octobre 1912.
La fontaine Saint-Cellerin.
Cette fontaine, reconstruite, est primitivement établie par l'intendant général Jacques de Beaune-Semblançay, dont les armoiries sont encore sculptées dans un bas-relief en pierre. L'ouvrage de forme pyramidale, surmonté d'un motif en pierre, reçoit l'eau d'une source dont l'origine est dans le rocher qui supporte le donjon. La fontaine s'adosse à un mur sur la partie droite duquel se trouve un bas-relief représentant l'écusson. La pyramide de pierre recouvre le bassin qui reçoit l'eau.
Cette fontaine des XVIème, XVIIème et XIXème siècles fait l'objet d'une inscription aux Monuments Historiques par arrêté du 2 décembre 1946.
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Dans le domaine de Montpoupon.
Les écuries du château.
Chaque stalle, marquée du nom prestigieux de son occupant, est peinte en bleu et jaune, couleurs de la casaque de course de la famille la Motte Saint-Pierre.
Exposition de voitures hippomobiles.
Les selleries.
Le pigeonnier.
Construit au XVIème siècle, d'une hauteur de 15 mètres, il compte environ 700 boulins.
Les appartements reconstitués d'un veneur.
L'entrée.
Le salon.
La salle à manger.
La chambre.
La maison Deyrolle.
Taxidermiste de renom à Paris, cette maison fondée en 1831 redonne vie aux insectes et animaux sauvages de nos forêts françaises par la naturalisation.
La salle Hermès.
Harnacheur depuis 1837, Hermès devient sellier en 1880 avant de devenir maroquinier, horloger, couturier, soyeux, orfèvre puis parfumeur ...
La maison Périnet.
Depuis 1829, la maison Périnet mérite sa réputation d'excellence pour les trompes de chasse qu'elle fabrique.
Le logis du piqueur.
Le piqueur est un homme de cheval dont la fonction est de suivre et de diriger une meute de chiens.
La maréchalerie.
Barque portable.
Stalles.
La cave.
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