A Belley, maison construite vers 1531 par messire Guillaume Perruquet, chanoine, chantre de la cathédrale et prieur d'Ordonnaz comme en témoigne l'inscription marquée au-dessus de l'entrée et le blason représentant un perroquet, hélas martelé.

 

 

" Avec sa tour hexagonale de pierre rehaussée de briques, ses toitures différentes dont celles à deux pans débordants qui abritent une statue de Saint Joseph, sa porte à encadrement en accolade aux moulures sculptées, ses fenêtres à embrasures chanfreinées et sa base évasée, cette maison a du caractère ". Société savante Le Bugey.

 

 

 

Tour hexagonale.

 

 

Porte d'entrée avec inscription GUILLELMUS PERRUQUETI.

 

 

Blason représentant un perroquet.

 

 

Statue de Saint Joseph.

 

 

Fenêtre à embrasure chanfreinée.

 

La veuve d'Humbert Béatrix en fit don aux soeurs saint-Joseph en 1825. Elles y établirent un pensionnat et y accueillaient aussi les malades les plus pauvres.

L'étymologie de Belley serait liée à la déesse Bellone, déesse romaine de la guerre qui avait comme emblème une louve.

 

" D'argent à la louve ravissante de sinople ".

 

Le blason de la ville au centre du balcon fleuri de l'Hôtel de Ville.

 

 

Autre symbole,  " La Louve Passante " malheureusement plus dans la Grande Rue.

 

Pour la communauté " Entre ombre et lumière ".

 

Poignées de portes dénichées à Belley.

 

 

 

 

 

 

A l'Hôtel de Ville.

 

 

 

A la cathédrale Saint Jean Baptiste.

 

Heurtoirs.

 

 

Je vous invite à découvrir un des quelques parcs de Belley.

 

A l'esplanade du Promenoir succède, le long de la pente surplombant les gymnases et le chemin des Soupirs, le jardin anglais arboré d'essences variées, au cheminement entrecoupé de marches par des traverses en bois. La ville en fit l'acquisition entre les deux guerres. En 1972, il fut décidé de l'aménager en jardin public.

 

 

 

 

 

 

Les descriptions sont tirées de " Richesses touristiques et archéologiques de la Ville de Belley ".

 

Venez visiter d'autres parcs.

 

Le parc de l'hôtel Dallemagne.

 

 

Le parc de l'Evêché.

 

Le 21 novembre 1745, le sieur Billiémaz, procureur du Roi suggéra au conseil de la ville, pour la décoration de la ville et la santé des habitants, de construire un promenoir public planté de quelques arbres.

En 1922, la ville fit installer un kiosque à musique qui embellissait le lieu où promeneurs et joueurs de boules venaient se détendre. Bien qu'apprécié des Belleysans, il fut démoli à la demande de la municipalité en 1955.

 

 

Le Promenoir est, aujourd'hui, une succession de parkings. Des quelque cent cinquante arbres qui l'ombrageaient naguère, il n'en reste que dix-sept ; les arbres coupés ont été remplacés par des boqueteaux et des haies d'essences variées.

 

 

Les descriptions sont tirées de " Richesses touristiques et archéologiques de la Ville de Belley ".