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Rossillon est une commune bugiste située dans la Cluse des Hôpitaux sur les bords du Furans.
Ce village a été la capitale du Bugey avant qu'un incendie ne le détruise et qu'il perde son statut.
A l'entrée du village, on aperçoit sur la gauche une demeure du XIVème siècle construite par la famille de La Forest et qui fut une résidence des ducs de Savoie. Il s'agit du château de Rossillon aussi appelé manoir de La Forest, inscrit au titre des Monuments Historiques depuis le 5 septembre 2005.
A droite du château, sur une esplanade, se dresse une harmonieuse église. L'église Saint-Pierre fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments Historiques depuis le 22 novembre 1939.
A 100 m au dessus, surplombant Rossillon et son défilé, on aperçoit un imposant rocher surmonté d'une statue de la Vierge.
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Dans la mythologie grecque, Poséidon est le dieu des mers et des océans en furie ainsi que " l'ébranleur du sol ", dieu des tremblements de terre et des sources. Son symbole principal est le trident.
Fresque murale à Artemare.
Etonnant de trouver cette fresque en plein Bugey. Qu'en pensez-vous ?
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Pour la communauté " Entre ombre et lumière ", un hommage aux oiseaux victimes de la marée noire.
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Pour Sherry et la communauté " Le casse tête de la semaine ".
Cette première manifestation du printemps met un peu de lumière dans ma vie.
Première primevère découverte le 26 février.
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C'est en 1856 que la Compagnie de Chemins de fer de Lyon à Genève a fait la proposition d'établir à Artemare une station de 4ème classe.
La gare du P.L.M. ( Paris-Lyon-Méditerrannée ) de la ligne de chemin de fer Genève-Lyon était desservie chaque jour par 4 trains dans chaque sens. Outre le transport des voyageurs, les trains assuraient le trafic marchandises ( expédition de sapins provenant du Grand Colombier pour l'Italie, de bois travaillé, de colis de peignes des Ets Laguerre de Don, de soie, de miel, de vin, de framboises du Colombier ... )
Le quartier de la gare était très animé en cette fin de XIXème siècle et début du XXème siècle. Au trafic des marchandises venant du Valromey, s'ajoutait la foule des voyageurs.
Avec la création de la S.N.C.F. en 1937 qui supprimera les lignes les plus déficitaires et l'avènement de l'automobile, le trafic commence à régresser. Ce n'est pourtant qu'en 1990 que la gare d'Artemare verra sa fermeture définitive.
Aujourd'hui ne reste qu'un quartier calme et une maison de garde-barrières dans une impasse où les trains passent sans plus jamais s'arrêter.
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