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Par nathie01300 le 10 Septembre 2015 à 00:00
Quiberon constitue l'extrémité Sud de la presqu'île.
Le port de pêche et la criée situés à Port Maria sont les lieux essentiels de l'activité maritime de la presqu'île.
Départ des bâteaux à destination de Belle-Île-en-Mer, Houat et Hoëdic.
Port regroupant 150 bâteaux qui débarquent leurs poissons, coquillages et crustacés pour les vendre.
Le phare de Port Maria, en retrait du rivage.
Phare cylindrique automatisé en maçonnerie lisse peinte en blanc, avec un encorbellement en pierres apparentes et une lanterne peinte en vert. Il est accolé à une maison sur deux niveaux.
Les pêcheurs.
La mer qui scintille.
Au loin, la plage.
Le château Turpault situé sur la pointe de Beg ou pointe de la Lande, entrée de la Côte Sauvage. Ce manoir de style anglo-médiéval fut construit en 1904.
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Par nathie01300 le 9 Septembre 2015 à 00:00
Le fort de Penthièvre bâti en 1750 sur un escarpement à l'endroit le plus étroit de la presqu'île.
Il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 23 juin 1933.
Portivy, village de pêcheurs et seul port de la Côte Sauvage.
Plus au Sud, la Côte Sauvage vue par les yeux de mon fils, Thomas, en 2005.
Demain, nous irons à Quiberon.
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Par nathie01300 le 6 Septembre 2015 à 00:00
A Port-Louis.
Edifiée en 1863 en granit de Guern.
Façade amortie par un pignon ogival sculpté de feuilles et de crochets empruntés au style du XIIIème siècle, terminé par un bouquet orné en son milieu d'un mufle d'animal fantastique.
Réhabilitée en 1995.
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Par nathie01300 le 5 Septembre 2015 à 00:00
A Port-Louis.
Edifiée aux XVIIème et XVIIIème siècles ( 1660-1670 et 1835 ), elle fut brûlée par la foudre en 1910 et reconstruite depuis.
On a conservé de l'ancien édifice la façade de style Renaissance et le clocher carré percé de baies en plein cintre et décoré de pilastres, détruit en 1820 et reconstruit en 1853.
Visite intérieure.
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Par nathie01300 le 3 Septembre 2015 à 00:00
Construite au XVIème siècle par les Espagnols, elle portait le nom de Fort de l'Aigle. En 1598, elle est partiellement démolie.
Elle est reconstruite entre 1618 et 1621, lorsque Louis XII décide de donner à Port-Louis le statut de ville royale. En 1666, la Compagnie française des Indes Orientales s'implante dans la rade de Port-Louis. La citadelle est considérée comme un poste avancé dans la défense de la rade. Les quelques modifications qu'elle subit pendant cette période lui permettent de soutenir un siège. Jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale, la citadelle garde ce rôle défensif. Ensuite, elle est affectée à la surveillance du trafic maritime.
La citadelle et les remparts font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 29 avril 1948.
Visite guidée.
La demi-lune est le point d'entrée de la citadelle.
Le grand pont.
Construite en bois, la passerelle d'origine est remplacée à la fin du XVIIIème siècle par un solide pont à trois arches en pierre, qui permet le passage de pièces d'artillerie plus lourdes.
Le donjon, le grand pont et le bastion de Groix construit par les Espagnols en 1591.
De chaque côté, à l'extrémité des bastions, on aperçoit nettement les échauguettes, petites constructions rondes permettant aux sentinelles de surveiller les alentours et d'assurer la défense de la base des bastions en cas d'attaque.
Accès à une guérite.
Le donjon, dernier élément datant de la fondation espagnole encore en élévation. Il abritait les logements des soldats espagnols et une prison en partie basse. Sa partie centrale construite en tuffeau portait les armes de la maison Mazarine, martelées lors de la Révolution.
La caserne Lourmel et la place d'armes ( XVIIème siècle ). Elle hébergeait ordinairement trois compagnies d'infanterie.
Plaque commémorative de l'emprisonnement du futur empereur Napoléon III en novembre 1836.
Les bastions.
Le bastion l'Irrégulier ( 1616 ).
Le Grand bastion avec la vigie, servant à surveiller le trafic du chenal, entièrement automatisée depuis 2007.
Le bastion des Chambres ( 1616 ), de la forme d'un as de pique tourné vers le large. Certains canons qui s'y trouvent proviennent du Juste, vaisseau du XVIIIème siècle.
Le parc à boulets, aménagé au XVIIIème siècle comme réserve à boulets à l'emplacement de l'ancien hôpital militaire, est bordé de bâtiments dont certains abritent aujourd'hui une machine à vapeur et des canons.
La poudrière et l'arsenal était en travaux, donc temporairement fermés au public.
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