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Samedi 8 octobre, visite de l'élevage de Yannick dans un village bugiste.
J'attendais ce jour depuis plusieurs mois. Pas de chance, le temps est pluvieux et mes photos vraiment pas terribles.
Bernaches d'Hawaï.
Bernache nonnette.
Bernache à cou roux.
Bernache du Canada.
Mandarins.
Mandarin blanc.
Canards mignons.
Un grand merci à Yannick pour son accueil et ses explications.
J'espère pouvoir y retourner un jour plus clément pour vous offrir de belles photos de ce domaine fantastique.
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Créations enfantines photographiées lors des 25èmes Entretiens de Belley.
Les poules.
Poul'art.
La poule et ses poussins.
La poule aux mots.
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Aujourd'hui, je vous invite à monter dans le bateau de Franck et Nathalie et à découvrir le Bugey vu du Rhône.
Départ du port de Murs-et-Gélignieux.
La Maison des Isles du Rhône à La Bruyère, hameau de Brégnier Cordon.
Murs-et-Gélignieux, vue sur le Mont Gela.
Murs-et-Gélignieux, situé sur la rive droite du Rhône, s'adosse aux dernières pentes du massif du Bugey ( montagne d'Izieu, Mont Gela ).
Direction le vieux Rhône dans les gorges de la Balme.
Rhône vers la Savoie.
Entrée de la voie de la Balme sur le vieux Rhône.
Rives sauvages du Rhône.
Pont de la Balme.
Fort de Pierre Châtel.
La faune du Rhône.
La couvaison.
Arrivée à l'écluse de Virignin.
J'espère que la balade vous a plu.
Les photos sont de Franck et Nathalie qui me les ont confiées pour que je réalise ce petit reportage. J'espère avoir été à la hauteur de leur attente.
Pour voir leur blog, c'est ICI.
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Deux nouveaux pensionnaires à la Cabanerie.
Ces chatons ont quatre jours.
Neuf jours plus tard.
Ne sont-ils pas adorables ?
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Pour la communauté " Entre ombre et lumière ", réflexions sur les fenêtres.
Les fenêtres, avec leurs rideaux, nous montre la réalité sous un autre jour.
Qu'on soit à l'intérieur ...
La vie colorée de rouge vue de ma cuisine.
Le cerisier et les voiliers.
... ou à l'extérieur.
Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n'est pas d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil et toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.
Par delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec presque rien, j'ai refait l'histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.
Si c'eût été un pauvre vieux homme, j'aurais refait la sienne tout aussi aisément.
Et je me couche, fier d'avoir vécu et souffert dans d'autres que moi-même.
Peut-être me direz-vous : " Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? ". Qu'importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m'a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis.
Charles Baudelaire, " Les fenêtres ", 1869.
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