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Par nathie01300 le 26 Avril 2019 à 00:00
La chapelle.
Porte-cierges votifs en fer forgé.
Niche pour poser les burettes.
Cheminée de type " chauffe-pieds ".
La salle des gardes.
Meurtrière permettant de surveiller l'accès au premier étage.
La grande salle.
Armoire dressoir du XVème siècle.
Armoire à deux corps en noyer du XIXème siècle, style néo-renaissance.
Coffre en chêne de style néo-gothique du XIXème siècle, décor de panneaux de " plis de serviettes ".
La galerie haute.
Charpente en forme de carène de bâteau renversé.
Le donjon ( 1470-1480 ).
Coussièges.
Le chemin de ronde ( 1480 ).
La salle de guet ( 1470-1480 ).
Toiture conique dite " en poivrière " portée par une charpente en chêne à quatre niveaux.
Le logis du premier étage ( 1470-1480 ).
Chambre de parement affectée à la réception des hôtes de marque.
Le logis du deuxième étage ( 1470-1480 ).
Cabinet ( 1580 ) en noyer, décor en haut relief, à quatre vantaux superposés ornés des allégories de la paix, l'abondance, la discorde, la guerre. Les niches sont ornées de six musiciennes.
Coffre en bois richement sculpté représentant Marie-Madeleine lisant, Saint François en extase et Saint Jean-Baptiste.
Fauteuil XVIIème siècle au décor composé de motifs découpés de rinceaux, incrustations de fleurs, feuillages et rinceaux.
Armoire dressoir en noyer, marqueterie en chêne du XVIème siècle, deux corps à retrait ouvrant à quatre battants et cinq tiroirs.
Coffre du XVIème siècle en chêne.
Sous les traits de personnages féminins, ce coffre richement sculpté est une allégorie des cinq sens.
Coffre du XVIème siècle s'apparentant aux cassones italiens.
Chambre de retrait réservée aux ablutions et soins du corps.
Baquet de bois appelé " cuviau " au fond duquel est déplié un " fond de bain " en molleton.
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Par nathie01300 le 25 Avril 2019 à 00:00
Sa première construction date du XIème siècle. Détruit au début de la Guerre de Cent ans, il est reconstruit de 1475 à 1483 par Pierre de Refuge, conseiller du prince Charles d'Orléans et trésorier du roi Louis XI.
René Lambot ( 1734- 1802 ) acquiert le château en 1789, ses descendants le transforment en 1814 en filature qui fonctionne jusqu'en 1890.
Le château fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 14 septembre 1912. Il devient propriété de l'Etat en 1932.
Il offre l'image d'un petit château fort du Moyen Âge se distinguant des grands châteaux de la Loire par l'absence d'ostentation malgré les embellissements apportés à la Renaissance.
Le potager.
Au-dessus de la porte d'entrée subsistent les rainures verticales dans lesquelles venaient s'encastrer les flèches du pont-levis.
La cour d'honneur.
Demain, nous visiterons l'intérieur.
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Par nathie01300 le 23 Avril 2019 à 00:00
Thibault Ier de Blois, dit Le Tricheur, fait bâtir vers 950 un donjon et une enceinte de protection. En 1212, Robert de Courtenay construit un nouveau château avec trois tours d'angle et une maison de gardien.
Au début du XVIIème siècle, Philippe de Béthune ( 1565-1649 ), frère de Sully, fait construire une vaste demeure. En subsistent la galerie à oculi au dessus des douves et les deux pavillons.
Douves de 21 mètres de largeur.
Inscrit aux monuments historiques en 1926, il est finalement classé en 1985.
Le château est délaissé en 2002. En 2012, des bénévoles férus de patrimoine le sauvent de l'oubli. Ils le rénovent et l'ouvrent au public jusqu'à le faire apparaître à nouveau sur la liste des châteaux de la Loire.
Deux architectures sont visibles: une partie dite château médiéval située à l'ouest et une partie du XVIIème siècle.
Le pavillon Béthune, baptisé ainsi en l'honneur de son illustre propriétaire.
Porte du carillon surmontée de trois cloches servant d'horloge au XVIIème siècle.
Fronton avec les armes de Philippe de Béthune.
Mécanisme du carillon.
Les appartements du pavillon de Béthune.
La galerie et ses sculptures.
Le parc.
Cèdre du Liban installé au XVIIIème siècle de 34,60 mètre de hauteur et 7,85 mètres de circonférence. Labellisé arbre remarquable de France le 30 mars 2016.
Puits.
Le château médiéval.
Porterie des offices : pavillon carré du XVIIème marquant l'entrée des communs coiffé d'un toit pyramidal analogue aux toits des pavillons Béthune et Sully, assurant ainsi la continuité architecturale.
Porte Jeanne d'Arc ( 1412-1431 ). C'est par cette porte datant du XIIIème siècle que passèrent Jeanne d'Arc et Charles VII à la tête d'une armée de 3000 hommes se portant au secours de la ville d'Orléans délivrée le 8 mai 1429.
Porte Henri IV ( 1553-1610 ). Porte du XVIIème siècle richement décorée " à la grecque " ( deux pilastres ioniques, une frise de rinceaux et un fronton ) empruntée par Philippe de Béthune pour accéder à ses appartements dits les " Pavillons Dorés ".
Porte du Gueslin ( 1320-1380 ) par laquelle les serviteurs se rendaient au commun.
Tour du coq, vestige du XIIIème siècle.
Appartements.
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Par nathie01300 le 22 Avril 2019 à 00:00
Propriété privée, il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 6 janvier 1926.
Propriété de Regnault de Chémery ( 1236 ), il fut aussi celle de René de Beauvillier Comte de Saint-Aignant mais l'histoire du château est peu connue en raison de la destruction des archives à la Révolution.
Doté de 600 hectares à la Renaissance, il est transformé en simple ferme en 1729 et la plupart des fenêtres murées ( pour limiter l'impôt foncier et permettre le stockage des céréales à l'étage ).
Possession de la famille de La Roche Aymon jusqu'en 1970, il est acquis par Alain Souchon puis par l'architecte Axel Fontaine en 1981 qui en assure la restauration depuis.
Le château est entièrement entouré par des douves enjambées par un ancien pont-levis au sud et une passerelle en bois à l'ouest.
Petit rappel : C'est le dernier jour pour voter pour vos deux photos préférées.
Résultat le 24 avril.
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Par nathie01300 le 19 Avril 2019 à 00:00
La grande salle.
Cheminée du XVème siècle.
L'office.
Potager du XVIIème siècle.
La cuisine.
L'antichambre.
Armoire à griffes de lion, en bois d'acajou, du XVIIIème siècle.
La chambre dite " de Charles IX ".
La chambre dite " de Catherine de Médicis ".
Chambre d'Isabelle Salviati rappellant comme la chambre précédente le passage du jeune roi Charles IX et de sa mère Catherine de Médicis en 1562 à l'entrevue de Talcy entre catholiques et protestants.
Le cabinet.
La chambre du Général Chanzy.
Chef de la deuxième armée de la Loire lors de la guerre de 1870 face aux Prussiens, il fit de Talcy son quartier général.
Le cabinet de toilette.
La chambre des demoiselles.
Aménagée vers 1835 pour les deux filles d'Albert Stapfer, Valentine et Mathilde.
Le cabinet Stapfer.
Le petit salon.
La salle à manger.
Monogramme d'Isabelle Salviati.
Le salon de compagnie ou " Grand salon ".
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